Il ne faut pas s’y tromper, crise climatique, capitalisme et souffrance au travail sont en lien. Comme expliqué dans son autre essai « la stratégie du choc » par Naomi Klein, le capitalisme applique la tactique de la table rase. Dans l’univers du travail, c’est exactement la même chose, avec le changement perpétuel, le toujours plus de productivité, la porosité entre vie professionnelle et vie privée. C’est l’idéologie du libéralisme qui parcours tous nos modes de vie.
Dans « Tout peut changer », l’essayiste canadienne explique que la lutte contre le réchauffement climatique passe par une sortie du capitalisme. Et se montre optimiste. Entretien. (lire la suite)