« Le travail n’a rien à voir avec ces drames ». Toujours la même réponse des directions quand un suicide se produit sur un lieu de travail. Mais c’en est trop. A l’hôpital Purpan, il y a eu 4 suicides cet été, sur les chantiers de BTP toulousain, 4 autres. Nous devons tous lutter contre la banalité de ce mal et transformer la souffrance individuelle en combat collectif.
« Après le suicide de 4 ouvriers des entreprises Cofely, Eiffage Construction et Socotrap, leurs collègues des chantiers du futur quartier Toulouse Montaudran Aérospace se sont mis en grève à l’appel de la CGT qui entend « transformer les souffrances individuelles en colère collective ». » (lire la suite de l’article)