France Télécom a été une véritable machine à fabriquer de la souffrance au travail. Aujourd’hui, la question du management de la terreur reste présente ailleurs, notamment dans les grandes administrations qui subissent les lois implacables du néolibéralisme.
« Marin Ledun, auteur du polar «les Visages écrasés», inspiré de son passage à France Télécom, raconte son traumatisme et son incapacité à travailler de nouveau au sein d’une entreprise. Marin Ledun a travaillé comme chercheur chez France Télécom entre 2000 et 2007. Il a subi au quotidien la pression exercée sur les salariés de l’entreprise par la direction d’alors pour remplir les objectifs du plan Next. Il a fini par craquer et partir. » Lire la suite